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Dieppe, le 1er décembre 2014 - Nous l’avons répété souvent : la sécurité et la santé des élèves sont au cœur des missions du Réseau des cafétérias communautaires Inc. (RCC) et du District scolaire francophone Sud.
À titre de fournisseur de services alimentaires dans 25 cafétérias du District scolaire francophone Sud, le RCC s’engage quotidiennement à offrir des repas de qualité, préparés sur place dans le respect de normes d’hygiène élevées.
Les médias locaux ont rapporté au cours des derniers jours que les cafétérias de certaines écoles avaient violé les règles de salubrité alimentaire. À cet effet, le RCC et le District scolaire francophone Sud tiennent à rassurer les parents et la clientèle de la cafétéria au sujet des problèmes qui ont été identifiés et relatés dans les médias.
« Le problème rapporté à l’école L’Odyssée remonte à notre première journée d’opération à cette école, en 2013. Ce jour-là, lors du passage de l’inspecteur en salubrité alimentaire, nous étions toujours en attente de la livraison du produit désinfectant utilisé dans toutes nos cafétérias. La livraison a été effectuée plus tard le même jour, ce qui a permis au personnel de procéder au nettoyage de toutes les surfaces de travail et de service. Le travail de nettoyage fait partie intégrante de notre routine et est fait tous les jours avec minutie par le personnel de la cafétéria. », d’indiquer la directrice générale du RCC, Madame Rachel Allain.
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Toujours selon Madame Allain, « Le problème rapporté à l’école Sainte-Thérèse concernait une concentration trop élevée de l’agent désinfectant dans la solution servant à nettoyer et à désinfecter les surfaces de travail de préparation des aliments. Ce problème a été corrigé rapidement. La formule est désormais respectée à la lettre, puisque sur les conseils de l’inspecteur, la solution est maintenant confectionnée à l’aide d’un compte-gouttes, ce qui permet une plus grande exactitude du volume de désinfectant par litre d’eau. Enfin, à l’école Le Sommet, les problèmes identifiés remontent à septembre 2013, à l’époque où la cafétéria n’était pas encore en opération. De plus, nous avons récemment connu un problème avec un réfrigérateur, lequel a été réparé depuis. Son contenu a été rapidement entreposé dans un autre espace réfrigéré. Nous vérifions quotidiennement les équipements qui servent à conserver et à entreposer la nourriture, ce qui nous permet de réagir promptement en cas de problème et d’éliminer tout risque pour la santé en lien avec la conservation des aliments. »
Madame Allain précise que tout le personnel de cafétéria a reçu une formation en salubrité alimentaire.
« Nous travaillons très fort pour augmenter les standards de qualité de la nourriture servie dans nos cafétérias communautaires en développant des menus équilibrés et en nous approvisionnant auprès des producteurs locaux. Vos enfants peuvent manger dans nos cafétérias sans crainte : nous leur offrons des produits préparés avec leur santé et leur sécurité en tête de liste de nos priorités. J’invite quiconque qui aurait des doutes à venir visiter nos installations. », conclue-t-elle.
Les rapports d’inspection sont disponibles pour le public à l’adresse : http://www1.gnb.ca/0601/fseinspectresults.asp?curralpha=0
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Source et renseignements :
Steve Lapierre
Coordonnateur des relations stratégiques
506 856-3183
steve.lapierre@gnb.ca
Dieppe, le 1er décembre 2014 – Le District scolaire francophone Sud félicite ses deux enseignantes récipiendaires du Prix d’excellence en enseignement 2014, Mesdames Chantal Duplessis, de l’école Mont-Carmel à Sainte-Marie-de-Kent et Joline Léger, de l’école Donat-Robichaud à Cap-Pelé. Mesdames Duplessis et Léger ont reçu leur prix des mains du ministre de l’Éducation et du Développement de la petite enfance, Monsieur Serge Rousselle, cette fin de semaine à Fredericton.
« Elles sont des modèles de passion, d’engagement et d’excellence pour leurs collègues du District scolaire francophone Sud », d’indiquer la directrice générale, Madame Monique Boudreau. « Nous nous considérons très chanceux de les avoir au sein de notre organisation. », ajoute-t-elle.
Chantal Duplessis
Grande pédagogue dynamique et ayant à cœur l’éducation de ses élèves, madame Duplessis s’inspire des nouvelles tendances pédagogiques afin de répondre aux besoins de ces derniers. Elle croit beaucoup à la pédagogie par projet et veut voir ses élèves actifs dans leurs apprentissages. De plus, elle vise le mieux-être global de tous ses élèves.
Madame Chantal est un modèle de passeur culturel qui s’assure que tous ses projets visent la construction identitaire des élèves. Elle est une vraie mordue de la culture française acadienne et un vrai modèle pour ses élèves!
Enthousiaste et engagée, elle stimule la curiosité des élèves. Lorsque celle-ci organise une activité, met sur pied un comité, planifie un projet, les élèves sont à sa porte de classe et veulent y participer! Que ce soit le comité organisateur de la Semaine provinciale de la fierté française, le comité culturel, le comité du journal étudiant, la Fête du patrimoine, les Olympiques d’hiver… où l’on retrouve Chantal Duplessis, on retrouve des jeunes et de l’action!
Madame Duplessis s’engage également au niveau de l’AEFNB, notamment en agissant à titre de vice-présidente du Cercle 12 et de responsable du comité de perfectionnement. Elle n’hésite jamais à s’impliquer et bénéficie grandement de toutes les occasions de formation qui lui sont offertes.
De plus, elle s’assure que tous ses élèves sont ACCEPTÉS et AIMÉS par tous dans leur salle de classe, en plus de réussir à créer un climat où tout le monde est ÉGAL. Son approche, sa mission, ses valeurs sont transférées aux élèves afin de les amener à voir qu’ils ont tous leur PLACE! Madame Chantal Duplessis croit à l’inclusion scolaire et pour elle, chacun de ses élèves est capable d’apprendre et de se dépasser.
Joline Léger
Enseignante attentionnée, madame Léger démontre son ouverture d’esprit et son engagement profond en favorisant la création et la mise en œuvre d’activités pédagogiques novatrices pour l’ensemble de ses élèves.
Que ce soit par la création d’une chanson et d’une vidéo, la création d’une maison d’édition, de la rédaction de livres personnalisés par des élèves et pour des élèves, de l’écriture, de la mise en scène et de la présentation d’une pièce de théâtre, d’une étude de roman et de nombreux projets communautaires dans différentes sphères, madame Joline sait planifier, organiser et favoriser différents projets qui permettent aux élèves d’apprendre et de s’entreprendre. Elle n’hésite pas à utiliser les forces, les compétences et les intérêts des élèves dans la réalisation d’une initiative afin qu’ils poursuivent leurs apprentissages et qu’ils contribuent aux apprentissages des autres élèves.
Les projets réalisés par Joline Léger se démarquent, sont soulignés par la communauté et vont au-delà des attentes et des exigences prescrites. Elle ne vise rien de moins que le plein développement de l’enfant et l’atteinte de l’excellence par ces derniers. Elle n’hésite pas à mettre ses élèves en projets afin de les faire progresser et de se dépasser.
Que ce soit à l’écriture, l’interprétation et à la diffusion, elle accorde une importance toute particulière et significative à la fierté liée à la langue, la culture acadienne et la jeunesse dans l’ensemble de ses projets et réalisations. De plus, elle choisit de mettre en œuvre des projets qui combinent langue, identité et environnement. Son engagement et son dynamisme dans ces sphères d’intérêts sont notoires et également appréciés par l’ensemble de la communauté, l’école, les parents et les élèves.
Bravo!
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Renseignements :
Steve Lapierre
Coordonnateur des relations stratégiques
506 856-3183
steve.lapierre@gnb.ca
Sur la photo, de gauche à droite : Monsieur Gilles Bourque, président du Conseil d'éducation, Madame Monique Boudreau, directrice générale, Madame Chantal Duplessis, récipiendaire, Madame Joline Léger, récipiendaire, Madame Isabelle Savoie, directrice exécutive de l'apprentissage et Monsieur Serge Rousselle, ministre de l'Éducation et du Développement de la petite enfance.
Dieppe, le 5 février 2013 - Plus de 250 passionnés d’éducation et de technologie ont participé au Congrès annuel de Clair, dans le nord-ouest du Nouveau-Brunswick, cette fin de semaine, dont plusieurs du District scolaire francophone Sud. L’objectif était d’échanger, de partager des pratiques gagnantes et d’apprendre sur la pédagogie des technologies. L’événement se tient depuis quatre ans au Centre d’apprentissage du Haut-Madawaska et rassemble essentiellement des enseignantes et des enseignants du Nouveau-Brunswick, du Québec, mais aussi de l’Ontario. Cette année, plusieurs pédagogues ont eu l’occasion de présenter des projets intéressants qui permettent aux élèves d’apprendre de façon différente, avec les outils qui les entourent au quotidien, dans ce qu’on pourrait décrire comme étant « leur nouveau monde de qualité ». Des conférenciers de marque ont aussi pris la parole, notamment, sur la délicate question des médias sociaux. Parmi ceux-ci, mentionnons Ewan McIntosh, fondateur de NoTosh, venu directement de l’Écosse pour s’exprimer dans un français parfait sur les questions entourant les médias numériques. Il a également partagé des idées avec les enseignantes et les enseignants pour attirer l’attention des élèves et les garder motivés à l’aide des technologies. Le chercheur de renommée internationale Thierry Karsenti, titulaire de la chaire de recherche du Canada sur les technologies de l’information et des communications a quant à lui ouvert le congrès, jeudi soir. Sébastien Stasse, consultant en nouvelles technologies et en évaluation, de Montréal et Darren Kuropatwa de Winnipeg, ont aussi partagé leur savoir. Les conférences ont été diffusées en direct sur le web pour les participantes et participants qui ne pouvaient assister à l’événement en personne. Tout au long de l’événement, les participantes et participants ont utilisé twitter afin de partager leurs commentaires et leurs réflexions, à l’aide du mot-clic #clair2013. Vous pouvez consulter plusieurs de ces réflexions provenant de partout au pays, en utilisant ce mot-clic à partir de votre propre compte twitter. Bravo aux organisatrices et organisateurs de Clair2013! -30- Source et renseignements :Steve Lapierre
Coordonnateur des relations stratégiques
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cell. : 506 961-6137
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Le District scolaire francophone Sud emploie deux Coordonnateurs de l'application pédagogique des technologies de l'information, dont le rôle est d'appuyer les enseignantes et les enseignants en salle de classe qui souhaitent utiliser les nouvelles technologies dans leurs pratiques pédagogiques.
Dieppe, le 6 février 2013 – Le Conseil d’éducation du District scolaire francophone Sud a résolu, lors d’une rencontre extraordinaire tenue le 1er février dernier, d’appuyer l’une des recommandations du groupe de parents de l’école Champlain dans le dossier de la qualité de l’air à l’école. À l’unanimité, les conseillers et conseillères scolaires appuient la première recommandation du groupe de parents, qui dicte les prochaines étapes dans l’évolution du dossier. La recommandation retenue se lit comme suit : Nous demandons au District scolaire francophone Sud de regrouper des représentants de la ville de Moncton, de la province du Nouveau-Brunswick et du gouvernement fédéral afin d’élaborer un plan, d’ici la fin juillet 2013, ayant comme objectif de déménager les entreprises industrielles [qui entourent l’école Champlain]. De plus nous demandons que le voisinage soit rezoné en totalité à industriel léger. Le président du Conseil, Monsieur Gilles Bourque, a réitéré sa volonté de travailler étroitement avec les parents afin de faire avancer le dossier. « Je réaffirme notre entière collaboration. La santé et la sécurité des élèves est une priorité et nous voulons trouver une solution durable pour le bien de tout le monde dans ce dossier. », a-t-il indiqué. Un comité composé d’un représentant du Ministère de l’Éducation et du Développement de la petite enfance, de la Ville de Moncton, du District scolaire francophone Sud a été mis sur pied afin d’élaborer le plan d’action qui devra être livré d’ici la fin juillet 2013. Le Conseil surveillera les travaux de ce comité de près. L’école Champlain de Moncton est située au cœur d’une zone industrielle, sur le chemin Mill. Les élèves et le personnel sont souvent incommodés par les odeurs qui émanent des industries avoisinantes et même si les tests de qualité de l’air ne démontrent pas qu’il existe un risque pour la santé des occupants de l’école, les parents et le Conseil d’éducation sont d’avis que les élèves et le personnel d’une école devraient pouvoir bénéficier d’un milieu propice à l’apprentissage en tout temps.-30- Source et renseignements :
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Dieppe, le 6 février 2013 - La classe de première année de Martine Cadieux de l’école Amirault est parmi les 12 lauréates du concours @nime ta francophonie! du Centre de la francophonie des Amériques. Les 11 petits ont uni leur voix et leurs paroles pour réaliser leur projet de recherche de vidéo sur la francophonie, « L’arbre est en culture ». Mme Cadieux a guidé sa classe dans un survol des endroits où la culture francophone est présente dans les Amériques. « Nous avons amorcé une discussion au sujet de la francophonie et de l’importance de s’exprimer en français… Ils étaient surpris d’apprendre combien il y a de francophones dans les Amériques et qu’il y en a à l’extérieur des provinces Maritimes et du Québec», explique Mme Cadieux. Les élèves ont décidé de s’arrêter aux États-Unis, à Lafayette en Louisiane et un parent est même venu parler de cette ville qu’il a visitée. Les enfants ont fait un projet de recherche et ont découvert Zachary Richard. Ils ont appris sa chanson « L’arbre est dans ses feuilles » et en ont changé les paroles pour représenter Lafayette. Le tout a culminé vers une mise en scène de la chanson pour la vidéo qu’ils vous invitent à aller visionner en cliquant sur le lien suivant : http://www.youtube.com/watch?v=nkor_uXuT6E&feature=youtu.be « L’arbre est en culture » était parmi 61 projets soumis au concours. Son succès rapporte une bourse de 3000$ à l’école Amirault pour l'achat de matériel pédagogique en français qui reflète la diversité culturelle des Amériques. -30- Source :Emmanuelle Chapados
Agente communautaire
Communauté-écoles de Dieppe
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