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Bouctouche, 2 décembre 2015 — Plus de 400 élèves de la maternelle à la huitième année ont participé au grand rassemblement du Défi 42-5 qui s’est déroulé au Centre JK Irving de Bouctouche. Les élèves et des membres de la communauté avaient pour défi de compléter, en marchant ou encore à la course, au moins 40 kilomètres à pieds en cinq semaines. Les participants devaient remettre une fiche indiquant les kilomètres comptabilisés. L’objectif de cet événement était de rassembler tous les participants et de faire régner l’esprit communautaire de la communauté d’écoles de Bouctouche en complétant, ensemble, la dernière distance du défi. Le Défi 42-5 est une initiative dont but est de promouvoir la santé et l’activité physique, des composantes du plan de mieux-être des écoles. Les écoles primaires étaient présentes lors de l’événement : Saint-Paul, Mont-Carmel (Sainte-Marie), Camille-Vautour (Saint-Antoine), Dre-Marguerite-Michaud (Bouctouche), Blanche-Bourgeois (Cocagne), Notre-Dame et Calixte-F-Savoie (Sainte-Anne).
«Puisque la santé influence la réussite, nous avons lancé le Défi 42/5 afin d’encourager l’ensemble de la communauté de Bouctouche à faire de l’activité physique. Avec au-delà de 300 participants, nous avons atteint notre objectif! C’était remarquable de voir les familles marcher dans les sentiers cet automne. », explique Denis LeBlanc, directeur de l’école Blanche-Bourgeois.
Selon Janie Maillet, élève de la 5ème année à l’école Camille-Vautour de Saint-Antoine : «J’ai beaucoup aimé participer au Défi 42-5, car je pense qu’il est très important d’être en santé et en forme. Ma maman a déjà participé à un semi-marathon et je voulais, à mon tour, faire quelque chose de semblable. »
En plus de la grande participation des élèves et de la communauté, le succès de cet événement a été rendu possible grâce à la collaboration de partenaires. Merci à Horizon Promotion, Fitworks et La Fleur du pommier.
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Source :
Hélène Hébert
Agente communautaire
Communauté-écoles de Bouctouche
506 525 4052
helene.hebert@nbed.nb.ca
Il était une fois quelques jeunes du Centre scolaire Samuel-de-Champlain qui avaient un rêve. Celui d’avoir une équipe de hockey bien à eux, dans leur école. Une équipe portant leurs couleurs, l’orange et le bleu. Des Jaguars sur patins. Or, les embûches étaient nombreuses. Les détracteurs abondaient. Plusieurs répondaient que leur école n’était pas assez grosse. Que les Jaguars ne savaient pas patiner. Qu’ils n’auraient jamais assez de joueurs. Que la tâche était impossible.
Pourtant.
Comme le dit Saint-Exupéry, « c'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante ». Un groupe d’élèves s’est accroché au rêve d’une équipe de hockey. Robert Burgess, Xavier Cormier, Jasper Daigle, Chantal LeBlanc et Jacob Methot se sont acharnés et ont réussi à convaincre les bonnes grandes personnes, qui, elles aussi, se sont mises à rêver. Elles étaient convaincues qu’un jaguar pouvait jouer au hockey.
« Le vrai rêveur est celui qui rêve de l’impossible » comme le disait Elsa Triolet. L’impossible a vu le jour le mercredi 2 décembre dernier, quand le chandail de l’équipe de hockey de Samuel-de-Champlain a été dévoilé à toute l’école. Le toit de l’école s’est soulevé de quelques centimètres ce jour-là. On rapporte même que les aiguilles des sismographes de la région ont bougé au début de l’après-midi. Ensuite, à 20 h 15, le dimanche 6 décembre, au Harbour Station, la terre a à nouveau tremblé. Des Jaguars ont été vus sur patins, phénomène qui ne s’était jamais encore produit dans ce coin du monde.
« Nous avons gagné ce jour-là », explique Stéphane Duval, l’entraineur-chef de la toute première équipe de hockey de Samuel-de-Champlain. « Nous avons marqué un but. L’autre équipe, beaucoup. Mais le pointage était secondaire. C’était un match des Étoiles! L’ambiance était électrisante et l’expérience, marquante ».
En juin, l’équipe comptait déjà neuf joueurs et l’année scolaire 2015-2016 n’était même pas encore commencée! Puis, peu à peu, le rêve a pris forme et en septembre, l’équipe était complète. « Le plus incroyable, c’est que nous avons déjà une belle relève qui se prépare », a confié M. Duval. Plusieurs jeunes de sixième et de septième années ont été surpris à jouer au hockey dans la cour de l’école en s’imaginant un jour être des Jaguars. « Dans l’équipe, nous avons six jeunes en 8e année, trois en 9e, trois en 10e, quatre en 11e et deux en 12e année. Je peux déjà voir l’impact dans les corridors, dans la cour, l’esprit d’équipe, l’esprit de famille et la fierté sont déjà palpables ».
Comme dans tout bon conte de Noël, il y a des alliés insoupçonnés. Des gens qui se laissent prendre au jeu et qui veulent faire partie du rêve. « Les équipes de St-Stephen et d’Hampton nous ont dit qu’ils voulaient nous aider. Ils ont été très gentlemen avec nos joueurs », a expliqué M. Duval.
À quand une équipe féminine de hockey à Samuel-de-Champlain maintenant? Tout est possible!
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Source :
Éric Kennedy
Agent communautaire
Communauté-écoles de Saint-Jean/Fredericton
506 643-3285
eric.kennedy@nbed.nb.ca
Saint-Jean, 5 janvier 2016 - Suite à l’énorme succès de sa première édition, l’ARCf de Saint-Jean est ravie d’annoncer que la 2e édition du projet Sam chante mettra en vedette nul autre que l’ambassadeur de la francophonie et de sa Louisiane natale, Zachary Richard.
« La chanson est une façon assez magique de communiquer. J’ai visité des écoles en Louisiane, j’ai travaillé avec des enfants et je sais que c’est une belle expérience, surtout pour moi. Ensemble, on va faire quelque chose qui va nous permettre de nous exprimer en français et de faire rayonner cette culture », souligne Zachary Ricard, très heureux de s’associer à ce projet.
Réalisé en collaboration avec le Centre scolaire Samuel-de-Champlain et l’École des Pionniers, Sam chante réunira plus de 200 jeunes choristes de la 3e à la 6e année qui vont découvrir, célébrer et chanter cet artiste francophone. Tout ce beau monde sera dirigé par la directrice de chœur Annie Légère-Lawless.
« La passion de Zachary Richard va toucher le cœur de nos enfants dans nos garderies jusqu'à nos futurs finissants, en éveillant les racines francophones des membres de notre communauté. Une nouvelle page de notre histoire communautaire est en train de se créer », précise madame Légère-Lawless.
Les nombreuses heures de répétitions et d’exploration en salle de classe culmineront en deux représentations qui auront lieu les 16 et 17 juin 2016 au Théâtre Louis Vermeersch du Centre Samuel-de-Champlain. En plus d’interpréter des chansons du parrain de l’événement, les élèves auront le privilège de partager la scène et de chanter avec Zachary Richard.
Cet événement rassembleur pour l’ensemble de la communauté est enrichissant pour les jeunes sur le plan de la construction identitaire et du développement culturel. « La grande force du projet de médiation culturelle est qu’il s’étale dans le temps, qu’il permet aux jeunes et à leurs familles de s’imprégner dans le répertoire de l’artiste parrain contribuant ainsi à célébrer la langue française et la culture qui la fait vibrer », explique le directeur des affaires culturelles à l’ARCf de Saint-Jean et initiateur du projet, monsieur Rodney Doucet.
Sam chante, une soirée colorée, émouvante, et surtout inoubliable.
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Source :
Rodney Doucet
Directeur des affaires culturelles
ARCf
506-654-3716
rodney.doucet@arcf-sj.org
Photo gracieuseté de Frédéric Downing-Doucet
Contact au Centre scolaire Samuel-de-Champlain :
Éric Kennedy
Agent communautaire
506 643-3285
eric.kennedy@nbed.nb.ca
Fredericton, le 25 janvier 2013 – Les élèves de 6e année de la classe de Madame Chantal Duguay-Mallet sont les heureux gagnants d’un prix de 3 000 $ pour la création d’une vidéo d’animation intitulé « Vimy découvre la Louisiane ». Ce projet a été soumis dans le cadre du concours international @nime ta francophonie 2012 sous la présidence de Monsieur Denis Desgagné, président-directeur général du Centre de la francophonie des Amériques. Le projet de madame Duguay-Mallet a été choisi parmi 61 candidatures. Le jury a souligné la richesse, la recherche, la créativité et le sérieux des projets présentés pour cette édition. Le jury était composé cette année de : (par ordre alphabétique) - Madame Lucia Cardenas, enseignante de français en Colombie; - Monsieur Réginald Fleury, conseiller pédagogique à la Commission scolaire de Montréal au Québec; - Monsieur Maxime Gauvin, coordonnateur des écoles communautaires et du développement linguistique et culturel du District scolaire francophone Sud au Nouveau-Brunswick; - Madame Flavie Hade, coordonnatrice à la programmation du Centre de la francophonie des Amériques à Québec ; - Madame Paulette Jno-Baptiste, correspondante académique du réseau des écoles associées à l’UNESCO au Rectorat de la Guadeloupe ; - Madame Jacki Williams-Jones, enseignante de français en Californie. Vous pouvez voir la vidéo en cliquant ici : http://www.youtube.com/watch?v=7kjWnKOagcE Nos félicitations aux élèves ainsi qu’à l’enseignante. Un merci très spécial et nos félicitations pour la contribution exceptionnelle de Monsieur Michel Chénard, enseignant en arts et en techno. -30- Source et renseignements:Carole Denis, agente communautaire
Centre d’appui Fredericton-Saint-Jean District scolaire francophone Sud
Tél. : 506 444-4305
carole.denis@nbed.nb.ca
Contact média au DSF-S :
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Coordonnateur des relations stratégiques
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steve.lapierre@gnb.ca
DES ÉLÈVES DE L'ÉCOLE CLÉMENT-CORMIER DE BOUCTOUCHE INTERPRÈTENT « LA MÉGA-MALADE IMAGINAIRE ».
Expiré
Bouctouche, le 28 janvier 2013 – Des élèves de l’école Clément-Cormier de Bouctouche ont monté une version modernisée du succès de Molière « Le malade imaginaire », devenu « La méga-malade imaginaire ». Ce classique de la littérature a été revisité dans le cadre du cours de théâtre de Mme Daisy Moreau. Au total, ce sont 14 élèves qui se sont investis dans toutes les étapes de la création de cette pièce, depuis le mois d’octobre. Pour réussir à livrer une solide performance, les élèves ont dû apprendre les bases de l’art théâtral. Mme. Moreau a attribué des rôles de sorte à ce que les élèves puissent se dépasser. Pour elle, c’est « une fierté de voir que les élèves progressent »! Les élèves se sont tellement engagés dans le projet, qu’ils ont accepté de participer à plusieurs répétitions, les soirs et fins de semaine. Ils étaient constamment mis à la tâche : quand ils n’étaient pas sur scène ou en train de s’occuper des éléments de la technique, ils étaient en train de répéter leurs rôles. Monter « La méga-malade imaginaire » aura pris environ 60 heures de travail. La directrice de l’école, Mme Marie-Josée Lagacé, souligne qu’elle est « toujours impressionnée de la performance de tous les élèves » considérant la qualité de leurs performances versus le peu de temps dont ils disposaient pour monter la pièce. Le succès est indéniable : les 14 artistes ont reçu une ovation de la part de leurs camarades! Bravo pour tous les efforts que vous avez mis pour la réalisation de ce beau projet! Chapeau à Mme Moreau et à ses élèves! -30- Source :Véronique LeBlanc
Reporter web en milieu scolaire
Renseignements :
Nicole Comeau
Agente communautaire
Communauté d'écoles - Bouctouche
District francophone - Sud
506-743-7200 ou 506-743-7230
courriel: nicole.comeau2@nbed.nb.ca Contact média au DSF-S :
Steve Lapierre
Coordonnateur des relations stratégiques
506 856-3183
steve.lapierre@gnb.ca