Grande-Digue, le 25 octobre 2012 – Les élèves de l’école Grande-Digue ont de quoi être fiers : leur court métrage « Terra Mars » sera présenté lors du Festival international de cinéma francophone en Acadie, en novembre prochain.   Leur film, une science-fiction d’une durée de 9 minutes, a été réalisé l’an dernier dans le cadre du projet Une école, un artiste sous la supervision du cinéaste Jean-Pierre Desmarais.   « Les élèves ont été impliqués dans toutes les facettes de la production du film. C’est un projet entrepreneurial d’envergure qui fait la fierté de toute notre école et de toute notre communauté », d’indiquer la directrice de l’école Grande-Digue, Nadine Cormier-Dupuis.   Le film sera également présenté dans le cadre du Silver Wave Festival de Fredericton. Il a récemment été récompensé lors du Concours de courts métrages étudiant du festival « La folie des arts. » Le film est une réalisation de l’élève Julie Surette et met en vedette les élèves-comédiens Ryan Babineau, Florie Duchesneau, James Léger, Hannah Macdonald, Zachary Robichaud-Desforges, Alexandra Roy et Nathanael Vautour.   Son synopsis intrigue les spectateurs : « La récupération de blocs de glaces des anneaux de la planète Saturne pour la «Terra formation» de la planète Mars peut finalement se faire suite à de dures négociations élaborées entres ses étranges habitants et trois astronautes envoyés en mission. »   Il sera présenté dans le cadre du Silver Wave Festival, le samedi 10 novembre à midi, au Centre communautaire Sainte-Anne de Fredericton et au FICFA le 18 novembre à 15 heures dans la salle 1 du Cinéma Empire de Dieppe.   La bande-annonce est disponible en cliquant sur le lien suivant : http://www.youtube.com/watch?v=lqUih3NSiro   -30-   Source et renseignements :
Steve Lapierre
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Dieppe, le 26 octobre 2012 – Le District scolaire francophone Sud félicite Monsieur Ernest Thibodeau, longtemps président du Conseil d’éducation du District scolaire 01 (maintenant District scolaire francophone Sud depuis l’amalgamation avec le District scolaire 11), le récipiendaire du prix Jean-Robert-Gauthier 2012.   Le prix lui a été décerné lors du Congrès annuel de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF), tenu à Moncton, la fin de semaine dernière.   Monsieur Thibodeau est un homme engagé sur les questions entourant l’éducation, notamment, celle des droits des francophones à une éducation de qualité égale à la majorité et celle du financement de l’éducation francophone au Nouveau-Brunswick. Il a tour à tour occupé les postes de conseiller scolaire, président de conseil d’éducation, président de la FNCSF et de la Commission provinciale d’éducation francophone. En mai dernier, il a choisi de faire le saut en politique municipale en devenant le conseiller du quartier 4 de la ville de Dieppe.   Le prix Jean-Robert-Gauthier de la FNCSF reconnaît chaque année, au plan national, un ou une francophone pour son apport dans le domaine de l'éducation en français en milieu minoritaire.   À propos de Jean-Robert Gauthier
Jean-Robert Gauthier était chiropraticien de formation mais a consacré la majeure partie de sa vie professionnelle à la scène politique à titre notamment de conseiller scolaire (1969-1972), de député libéral d'Ottawa-Vanier à la Chambre des communes (1972-1994) et de whip du Parti libéral et chef parlementaire de l'opposition (1984-1991). Il fut nommé au Sénat en 1994 et a pris sa retraite en 2004. Défenseur des droits des francophones à l'extérieur du Québec, Jean-Robert Gauthier a pris position et est intervenu à de nombreuses reprises dans les dossiers concernant les langues officielles au Canada et la Constitution canadienne et a su établir des relations avec des organismes voués à la défense des droits des francophones au Canada et en Ontario.   -30- Source et renseignements :
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Rogersville, le 29 octobre 2012 – Lisa LeBlanc, originaire de la communauté de Rosaireville, mais ancienne élève des écoles W.-F.-Boisvert et Secondaire Assomption de Rogersville, vient d’être proclamée Révélation de l’année au gala de l’ADISQ, diffusé dimanche soir à la télévision de Radio-Canada.   Lisa LeBlanc s’est illustrée grâce au succès retentissant de son album éponyme lancé plus tôt cette année. Son parler et ses textes francs et sans froufrous, de même que sa musique qu’elle décrit elle-même comme du folktrash, ont été remarqués rapidement partout dans la francophonie canadienne et en Acadie.   Dans une entrevue à la radio de Radio-Canada, diffusée plus tôt en 2012, Lisa LeBlanc confiait avoir eu la piqûre de la musique à l’école secondaire, grâce au concierge de son école, qui prenait du temps pour lui montrer à jouer de la guitare.   « Je tiens à féliciter Lisa LeBlanc pour sa détermination et sa simplicité qui lui valent aujourd’hui, malgré son jeune âge, un prestigieux trophée Félix, dans le cadre du gala de l’ADISQ. La fierté qu’elle porte à sa langue et à ses racines fait d’elle un exemple pour les jeunes acadiennes et acadiens qui fréquentent actuellement nos écoles. », d’indiquer le directeur général du District scolaire francophone Sud, Monsieur Gérald Richard. -30-   Source et renseignements :
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Moncton, le 31 octobre 2012 – Le Ministère de l’Éducation et du Développement de la petite enfance et le District scolaire francophone Sud sont fiers d’annoncer que la nouvelle école actuellement en construction sur la rue Ryan à Moncton, sera désormais connue sous le vocable « École Le Sommet ».   Ce nom, riche de sens pour la communauté francophone de Moncton en souvenir notamment du Sommet de la francophonie tenu dans cette ville en 1999, évoque aussi le dépassement de soi et la réussite comme finalité éducative. Le nom a été proposé dans le cadre d’un exercice de consultation mené plus tôt en 2012 auprès de la communauté. C’est au Ministre de l’Éducation et du Développement de la petite enfance qu’est revenue l’approbation finale.   « Avec le nom École Le Sommet, notre nouvelle école de Moncton Nord laisse déjà présager des attentes et une qualité d’enseignement élevées, comme c’est le cas dans tous nos établissements.», d’indiquer le président du Conseil d’éducation, Monsieur Gilles Bourque. « Je suis convaincu que l’École Le Sommet viendra solidifier la présence francophone à Moncton, permettant ainsi à davantage de jeunes acadiens et francophones d’accéder à l’école de langue française et d’atteindre des sommets de réussite. », ajoute-t-il.   L’École Le Sommet accueillera ses premiers élèves en septembre 2013. Elle offrira les niveaux scolaires de la maternelle à la 8e année. Son directeur, Monsieur Marc Pelletier, entrera en poste en janvier 2013. Un site Internet sera créé sous peu afin de permettre à la communauté de suivre la construction de l’école et de se tenir informée.   -30-   Source et renseignements :
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Dieppe, le 5 novembre 2012 – Deux enseignantes d’exception, Mesdames Rachel Schofield Martin et Suzanne Hébert, du District scolaire francophone Sud, ont reçu le Prix d’excellence en enseignement, cette fin de semaine, des mains du ministre de l’Éducation et du Développement de la petite enfance, Jody Carr.

  Rachel Schofield Martin, école Blanche-Bourgeois, Cocagne
Madame Schofield se démarque par son énergie, sa créativité et son enthousiasme. La tête pleine de projets, il n’y a pas assez de 24 heures dans une journée pour tout faire. Heureusement, sa capacité à mobiliser et à motiver les élèves lui permettent de mettre au monde plusieurs des beaux projets qui lui passent par la tête. Pour elle, rien n’est impossible quand on le veut vraiment.   Madame Schofield éveille le leadership des élèves en les mettant constamment en action. Les projets d’atelier de menuiserie, de Jardins de la biodiversité et de Cafétéria entrepreneuriale en sont des exemples concrets. Ces projets mettent l’élève à l’avant plan et leur permettent de s’entreprendre à tous les niveaux. Nous considérons d’ailleurs Madame Schofield comme un modèle pour le projet d’écoles communautaires entrepreneuriales au District scolaire francophone Sud.   Ses convictions en lien avec une alimentation santé et le développement durable sont aussi partagées avec les élèves à travers ses projets. Madame Schofield utilise sa capacité de mobiliser les gens pour développer des partenariats importants avec des entreprises et des organismes locaux. Grâce à ses efforts, l’école reçoit beaucoup de la communauté, mais donne énormément en retour.   Et ce n’est pas tout! Madame Schofield est toujours disposée à faire du bénévolat, même après que les projets qu’elle développe sont prêts à voler de leurs propres ailes. Peu importe le projet ou l’activité, Madame Schofield organise, participe, photographie, écrit, diffuse… Madame Schofield est un verbe d’action; un modèle pour notre système d’éducation. Grâce à ses efforts, les élèves se sentent valorisés. Certains ont même repris goût à l’école et retrouvé le plaisir d’apprendre.   Madame Rachel Schofield est excellente pédagogue qui laisse une impression positive dans la vie des enfants. Elle mérite toute notre reconnaissance car elle fait toute une différence. n

  Suzanne Hébert, école Sainte-Bernadette, Moncton Madame Hébert est décrite comme une enseignante extraordinaire, mais aussi comme une collègue de travail hors pair. Son dynamisme, son humour, son respect pour les autres et sa créativité sont des qualités qui lui permettent chaque jour, d’être la pédagogue d’exception qu’elle est.   Suzanne Hébert remet en question ses pratiques pédagogiques de façon continue et est toujours à la recherche de nouvelles idées pour permettre à ses élèves d’apprendre différemment. Ouverte d’esprit et dotée d’un gout pour la nouveauté, elle ne se gêne pas pour tenter de nouvelles approches. Qui plus est, Madame Hébert réussit à créer de nombreux scénarios d’apprentissage et est toujours prête à les partager avec ses collègues.   Elle engage les élèves en s’intéressant à leurs histoires et en partant de leurs intérêts personnels et de leurs forces individuelles. De plus, les élèves de Suzanne Hébert relèvent leurs défis académiques puisqu’ils se sentent respectés et appréciés comme individu.   Suzanne Hébert a perfectionné la pédagogie en mouvement en faisant bouger les élèves de sa classe au quotidien. Français, mathématiques, sciences… tout est prétexte pour bouger! L’enseignement interdisciplinaire de Suzanne Hébert garde les jeunes motivés à apprendre.   Et ce n’est pas tout! Madame Hébert a aussi pris en charge le développement de la construction identitaire au sein de son école. Elle créé des activités originales, qu’elle partage avec le personnel enseignant, pour que les élèves développent quotidiennement leur fierté acadienne et francophone.   Il y a de nombreuses pages au portfolio de Madame Hébert. Pour cause; elle est une excellente enseignante qui fait l’unanimité au sein de son école et du District scolaire francophone Sud. Les élèves ne s’en cachent pas : plusieurs disent même qu’elle est la meilleure enseignante au monde!

  « Ces deux grandes pédagogues sont des modèles pour notre District scolaire et nous sommes fiers de pouvoir les compter parmi notre personnel. Elles sont des atouts importants pour la réussite de nos élèves et leur développement identitaire. », d’indiquer le directeur général du District scolaire francophone Sud, Monsieur Gérald Richard.   Les Prix de l’excellence en enseignement ont été remis lors d’une soirée gala qui avait été organisée à Fredericton, le samedi 3 novembre, en présence de plusieurs invités du monde de l’éducation néo-brunswickois. Depuis 1992, il a été décerné à 152 enseignantes et enseignants qui se sont distingués par leur créativité, leur dynamisme et leur engagement.   -30- Source et renseignements :
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