Moncton, le 15 juin 2015 - Le 23 mai dernier, l’école Le Mascaret inaugurait sa bibliothèque « Bibliothèque Debra-Kerry » devant près de 300 personnes. Debra Kerry a été directrice adjointe de l’école Le Mascaret de 2005 à 2012.  La bibliothèque de l’école est nommée en son honneur en raison de sa contribution à l’ouverture de l’école, à la construction de sa mission et à son engagement envers l’épanouissement de chaque élève. En tant que grande pédagogue et avide lectrice, Madame Kerry a été un pilier important dans la promotion de la langue et de la culture françaises à l’école Le Mascaret. Mme Debra Kerry est malheureusement décédée des suites d’une terrible maladie, le 24 novembre 2012.

La soirée d’inauguration a débuté avec l’accueil des invités sous une musique d’ambiance offerte par les talentueux musiciens de l’Harmonie de l’école, dirigée par Mme Monica Lang. Pendant ce temps, les invités ont eu l’occasion d’admirer les œuvres d’art de nos jeunes artistes, ainsi que le travail d’élèves offrant de l’art en direct. Le tout a été orchestré par Mme Marie-Josée Tremblay. Après la cérémonie du dévoilement de la plaque, l’ensemble Jazz de l’école L’Odyssée, a interprété quelques pièces, afin de rendre hommage à leur ancienne directrice adjointe de l’école Le Mascaret. Le tout s’est terminé par un délicieux gouter.

Sur la photo, on peut voir Mme Anne-Marie LeBlanc, directrice générale du district scolaire à la retraite, collègue et grande amie de Mme Kerry ainsi que Mme Mireille Bertin-Post, directrice de l’école Le Mascaret. Les deux pédagogues ont procédé au dévoilement de la plaque « Bibliothèque Debra-Kerry ».

-30-

Renseignements:
Annie Savoie
Agente communautaire
École Le Mascaret
506 869-6563

 

 

Saint-Antoine-de-Kent, le 29 novembre 2012 - Une élève de la deuxième année de l’école Camille-Vautour de Saint-Antoine-de-Kent, Véronique Graham, vient de remporter un prix de l’Institut de « twittérature » comparée. Le jeune élève de la classe de Manon Richardson, s’est mérité un prix pour avoir participé à un concours ouvert aux francophones du monde entier. La « twittérature » est en quelque sorte l’ensemble des textes littéraires publiés en 140 caractères ou moins sur Twitter. Pour l’Institut rien ne s'oppose à ce que Twitter devienne un véritable outil de production littéraire malgré la contrainte de 140 caractères qui l'enserre. En l'acceptant comme une nouvelle forme fixe, les twittérateurs déploient de nouvelles stratégies rhétoriques. Twitter cesse alors d'être un médium de réseautage social pour devenir un canal de diffusion de nano textes qui privilégient l'exploration formelle en interpellant aussi bien l'imaginaire que la réflexion, le jeu formel, la contrainte stylistique, le sursaut poétique ou l'émergence d'un mini récit...   Madame Richardson, elle, exploite les technologies de l’information et de la communication en salle de classe car elles permettent, selon elle, une plus grande ouverture sur le monde. « Que ce soit au niveau de la communication orale ou écrite, les élèves sont conscients d’être lus ou d’être écoutés par d’autres. », indique-t-elle.   Véronique a séduit les juges du festival par son gazouillis : « Dans le futur, j’inventerais un nouveau mois de l’année. Il s’appellerait Arcanciel. » Ce petit bijou de phrase lui a permis de recevoir le prix Coup de Cœur dans la catégorie #TwFestG. Son prix comprend plusieurs livres de lecture et un certificat. Bravo!   -30- Source: Steve Lapierre Coordonnateur des relations stratégiques DSF-S 506 856-3183 steve.lapierre@gnb.ca      

Grand-Barachois, le 5 décembre 2012 - L’Association des enseignantes et des enseignants francophones du Nouveau-Brunswick était l’hôte cette année de la Conférence des Associations francophones d’éducation (CAFÉ) dans la  région de Shediac. Hier, une école acadienne, l’école Père-Edgar-T.-LeBlanc de Grand-Barachois, a ouvert ses portes pour dévoiler certaines de ses pratiques gagnantes. Au total, une trentaine de leaders (présidences et directions générales) des organisations enseignantes francophones (ou sections de langue française) de partout au pays ont visité l’école et en ont appris davantage sur le Programme Sports Plus, l’utilisation des nouvelles technologies en salle de classe, les réalités de l’inclusion au Nouveau-Brunswick, l’école communautaire entrepreneuriale et la construction identitaire.   Les visiteurs ont été très impressionnés par la beauté et la qualité des projets en marche dans cette école.   La CAFÉ a pour but de rassembler les leaders francophones des associations enseignantes du pays afin de partager des pratiques gagnantes, d’échanger sur les enjeux actuels, d’élaborer les priorités d’action communes et de favoriser l’avancement de la francophonie.     Les conseillers scolaires Gilles Cormier et Gilles Bourque, ont notamment pris part à cette visite.   Le District scolaire francophone Sud remercie les élèves et le personnel de l’école Père-Edgar-T.-LeBlanc pour leur accueil chaleureux. Leur ouverture a permis de faire briller non seulement leur école, mais toutes les écoles du District scolaire francophone Sud.   -30-   Source :
Steve Lapierre
Coordonnateur des relations stratégiques
506 856-3183
steve.lapierre@gnb.ca      

Dieppe, le 7 décembre 2012 – Une semaine après la tenue du radiothon de l’Arbre de l’espoir, le District scolaire francophone Sud est fier d’annoncer que la contribution totale de ses écoles à la campagne 2012 s’élève à 75 209 $.   Cette somme magistrale a été amassée grâce aux efforts des élèves et du personnel des écoles du District, sensibles à la cause. La campagne de l’Arbre de l’espoir est une activité annuelle de la Fondation Hôpital Dr-Georges-L.-Dumont qui contribue au développement du Centre d’oncologie Dr-Léon-Richard, à l’amélioration de la qualité de vie des patients qui séjournent à l’Auberge Mgr-Henri-Cormier, aux efforts de recherche au Nouveau-Brunswick pour vaincre le cancer et à la promotion des bonnes habitudes de vie.   « Je trouve simplement formidable et très touchant, le fait que nos écoles s’engagent année après année dans une variété d’initiatives dont le but commun est d’aider son prochain. En participant à ce type d’activités, les élèves font l’apprentissage de valeurs qui leurs serviront tout au long de leur vie en société en plus de faire du bien dans leur communauté. » exprime le directeur général du District scolaire francophone Sud, Monsieur Gérald Richard.   Une variété de moyens originaux est utilisée dans les écoles pour amasser des fonds. Parmi les activités de financement organisées, mentionnons notamment des chasses au trésor, des collectes de sous noirs, la vente d’articles confectionnés à la main et la publication et la vente du livre de Renée Belliveau de l’école Louis-J.-Robichaud, qui a elle seule, à généré des revenus de 14 300 $ pour l’Arbre de l’espoir.   Le District scolaire francophone Sud est le plus grand district scolaire en superficie au Nouveau-Brunswick, avec 35 écoles réparties sur un territoire s’étalant de Saint-Jean à Miramichi.   -30-   Source et renseignements :
Steve Lapierre
Coordonnateur des relations stratégiques
506 856-3183
steve.lapierre@gnb.ca

Sur la photo, les élèves et le directeur de l'école Anna-Malenfant de Dieppe, M. Yves Laplante, remettent leur chèque dans le cadre de la campagne de l'Arbre de l'espoir.

 

Dieppe, le 11 décembre 2012 – Le District scolaire francophone Sud doit conjuguer avec un manque de conducteurs et de conductrices d’autobus scolaires suppléants sur l’ensemble de son territoire.   Le problème est si important que des retards d’autobus plus fréquents sont à prévoir dans un avenir rapproché, si rien n’est fait pour changer la situation.

« À l’heure actuelle, nos employés du Secteur du transport scolaire font tout en leur pouvoir afin de minimiser l’impact de cette pénurie sur la journée scolaire, mais il arrive que des perturbations soient inévitables », d’indiquer le directeur général du District scolaire, Monsieur Gérald Richard.   Dans un ultime effort pour corriger la situation, le District scolaire francophone Sud lance une campagne qui se déploiera en affichage et à la radio pour recruter des conductrices et des conducteurs suppléants dans toutes les régions qu’il sert, sous le thème « Le conducteur d’autobus : tant à transporter ».   « Les conductrices et conducteurs d’autobus scolaires ont l’importante responsabilité de conduire les élèves en toute sécurité vers l’école le matin et à la maison, en fin de journée. Ce sont des joueurs importants dans la journée scolaire des élèves. Le métier de conductrice ou de conducteur d’autobus est une carrière stimulante et valorisante pour quiconque aime les enfants. » d’indiquer le directeur général du District scolaire francophone Sud, M. Gérald Richard.   Devenir conductrice ou conducteur d’autobus scolaire Pour pouvoir occuper un poste de conductrice ou de conducteur d’autobus suppléant, les candidats doivent avoir obtenu leur diplôme d’études secondaires, pouvoir obtenir un permis de conduire de la classe 2B et suivre un cours de conduite préventive à l’intention des conducteurs d’autobus (approximativement 40 heures). À ces exigences s’ajoutent les qualités suivantes : avoir une belle personnalité, faire preuve de disponibilité, avoir un bon jugement et la capacité d’assurer la sécurité des élèves à bord et aux abords du véhicule. Les candidates et les candidats intéressés doivent avoir une bonne connaissance de la langue française parlée et écrite. De plus, les personnes intéressées doivent soumettre leur curriculum vitae et la vérification de leur casier judiciaire datant de moins d’un an.   Souvent, les emplois de conductrices ou conducteurs d’autobus scolaires suppléants peuvent mener à un emploi permanent à temps complet dans un délai plus ou moins court, pour les personnes qui en manifestent l’intérêt et dont la performance est satisfaisante.   Pour en savoir davantage, visitez www.francophonesud.nbed.nb.ca/transporter.cfm.   -30- Source et renseignements :
Steve Lapierre
Coordonnateur des relations stratégiques
District scolaire francophone Sud
tél. : 506 856-3183 | cell. : 506 962-7054
steve.lapierre@gnb.ca