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• Les racines de l’arbre symbolisent les racines acadiennes et francophones qui nous permettent encore aujourd’hui de nous tenir debout; • Le personnage caché dans le tronc de l’arbre symbolise à la fois la croissance du district, l’élève qui grandit et l’adulte qui par son enseignement, permet d’élever les esprits; • Les bras élevés symbolisent la fierté, la réussite scolaire et la volonté de s’exprimer; • Les feuilles colorées symbolisent la diversité, l’inclusion et le respect de toutes les différences; • Les courbes symbolisent le mouvement, la capacité de s’adapter au changement. La signature « Apprendre. Grandir. Devenir. » résume quant à elle la triple mission du district en un coup d’œil. Dans le mot « apprendre », il y a la réussite scolaire et tous les projetsque vivent nos élèves à l’école. Dans le mot « grandir », se cache la petite enfance et toutes les expériences qui forment la jeunesse. Dans le mot « devenir », il y a la notion de construction identitaire, les projets vie-carrière de nos élèves et toutes nos finalités, c’est-à-dire, ce que l’on souhaite pour notre jeunesse acadienne et francophone. « Devenir », représente aussi l’ouverture vers les possibilités infinies qu’offre l’éducation en français. C’est une promesse d’un meilleur futur. Les trois mots sur une même ligne illustrent le continuum de l’éducation. L’image de marque a été développée en collaboration avec la firme acadienne Branch Graphic Design de Moncton. Elle sera déployée sur toutes nos plateformes et à travers les écoles au cours des prochains jours. Chaque école recevra entre autres un arbre (logo) en pièce détachées qui pourra être reconstitué au mur. Chaque élève recevra une feuille de couleur sur laquelle il ou elle pourra inscrire son nom et ajouter à l’arbre de son école pour témoigner de la place qu’il occupe au sein de la famille. Le président du Conseil d’éducation du district scolaire francophone Sud, Monsieur Gilles Bourque a dit « être très fier de la nouvelle image de marque du district. Nous avons une image contemporaine qui véhicule très bien les valeurs institutionnelles et la mission de notre maison d’éducation. » Le District scolaire francophone Sud compte plus de 13 300 élèves dans 36 écoles, situées dans 27 villes et villages du Nouveau-Brunswick. -30- Steve Lapierre Coordonnateur des relations stratégiquesDistrict scolaire francophone Sud
Tél.: 506 856-3183
Cell.: 506 961-6137 steve.lapierre@gnb.ca
Dieppe, le 18 octobre 2013 – Les deux élèves de l’école Abbey-Landry qui ont initié le projet du film « 2 faces » dénonçant le phénomène de l’intimidation et la directrice générale du District scolaire francophone Sud, Madame Monique Boudreau, se sont rencontrées ce midi, afin de discuter en toute franchise de la controverse entourant le refus du District scolaire francophone Sud d’autoriser la distribution de la vidéo à grande échelle.
Madame Boudreau a d’abord tenu à féliciter les élèves pour avoir réalisé un projet entrepreneurial d’envergure et avoir choisi l’intimidation comme thème.
« J’ai vraiment senti que les élèves ont voulu faire une différence par le biais de leur projet entrepreneurial et je les en félicite », a-t-elle indiqué. « En initiant, gérant et réalisant un projet de film comme celui-là, les élèves se sont entrepris et c’est tout à leur honneur. Jamais nous avons voulu transmettre le message aux élèves que leur projet n’était pas bon et qu’on dénonçait leur façon de s’exprimer », a-t-elle ajouté.
Lors de l’entretien, Madame Boudreau a énoncé les raisons pour lesquelles le film ne pouvait pas être endossé par le district scolaire dans sa version actuelle et les deux jeunes cinéastes ont exprimé leur désaccord face à cette décision et leurs sentiments à la suite de ce revers.
« Au District scolaire francophone Sud, nous considérons que l’objectif initial du projet a été atteint puisque l’intention était de permettre aux élèves de faire des apprentissages en touchant à toutes les facettes de la production d’un film. De cette fierté de s’être entrepris, semble naître un nouvel objectif, soit celui de distribuer le film à une plus grande échelle et d’en faire une vidéo de promotion contre l’intimidation. »
Madame Boudreau a expliqué que bien que ce nouvel objectif soit tout à fait valable et justifié, la qualité de la langue est un enjeu de tous les instants au District scolaire francophone Sud et qu’en tant que maison d’éducation, le district ne peut pas mettre la qualité de la langue de côté et endosser des produits qui ne répondent pas à certaines normes de qualité au niveau de la langue.
« Notre décision n’a rien à voir avec la qualité du film ou de la démarche pédagogique, au contraire. Nous souhaitons que les élèves réfléchissent désormais sur ce qui doit être amélioré à leur projet pour pouvoir atteindre leur nouvel objectif et ce, dans le but que le film puisse être compris par tous les francophones. », a-t-elle fait savoir aux élèves.
De leur côté, les élèves ont souligné que leur intention était de sensibiliser les jeunes de leur communauté au phénomène de l’intimidation en choisissant un registre de langue qui les rejoindrait. « Le film utilise un langage que les jeunes comprennent (avec) leurs propres expressions. L’intimidation n’a pas de langue. Il faut montrer aux jeunes qu’on peut intimider ou être victime d’intimidation peu importe la langue qu’on parle! », ont-elles indiqué.
Les deux élèves sont arrivées à la rencontre très bien préparées et prêtes à faire valoir leurs arguments, ayant même dans leur manche une piste de solution afin que leur nouvel objectif de distribuer le film puisse être atteint.
« Nous voulons proposer de sous-titrer des parties du film en français standard, mais nous ne voulons pas tout refaire le film. », ont-elles indiqué.
Madame Boudreau s’est dite très heureuse que les deux élèves montrent encore une fois du leadeurship dans la recherche de solutions pour arriver à atteindre leurobjectif. Une discussion a eu lieu afin que cette idée soit proposée comme projet entrepreneurial en salle de classe et que les élèves puissent recevoir l’appui de leurs pairs et de leurs enseignantes et enseignants dans la poursuite de ce nouveau projet.
Bien au fait qu’entreprendre un tel projet demandera du temps, de l’énergie et des ressources financières, les élèves ont indiqué vouloir en parler avec leurs pairs et le personnel de l’école avant de prendre une décision finale.
Madame Boudreau a lancé l’invitation de maintenir un dialogue ouvert avec le district scolaire et la direction de l’école pour la suite des choses. Entretemps, Madame Boudreau a confirmé avec le cinéaste Chris LeBlanc, son intérêt à s’impliquer dans l’exercice de sous-titrer les éléments du film en chiac. « Monsieur LeBlanc semble avoir compris notre décision et être intéressé à collaborer avec nous pour permettre au projet des élèves de l’école Abbey-Landry d’être exporté ailleurs dans la francophonie, avec l’aval du District scolaire francophone Sud. »
« Au bout du compte, l’important est que tous les élèves continuent de s’entreprendre et le fassent dans le respect de soi, des autres et des normes qui encadrent notre mission éducative. », a-t-elle conclu.
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Renseignements :
Steve Lapierre
Coordonnateur des relations stratégiques
506 856-3183
steve.lapierre@gnb.ca
Sur la photo, Madame Monique Boudreau discute avec les élèves Gabrièle Zerb et Geneviève Boudreau au sujet de la controverse entourant la distribution de leur film 2 faces. Aussi présents lors de l'entretien (sur la photo) : Madame Charline Godin, directrice de l'école Abbey-Landry, Monsieur Chris Weaton, directeur adjoint et Madame Nathalie Kerry, directrice exécutive de l'apprentissage.
Fredericton, le 3 novembre 2013 - Cinq membres du personnel enseignant des écoles francophones ont reçu le Prix d'excellence dans l'enseignement en reconnaissance du travail exceptionnel qu'ils ont accompli au cours de l'année scolaire 2012-2013. L'événement a eu lieu le 2 novembre à Fredericton.
Le secrétaire parlementaire de la ministre de l'Éducation et du Développement de la petite enfance, Claude Landry, a remis les prix de cette 20e cérémonie annuelle aux cinq lauréats suivants :
- Suzanne P. Doucet (enseignante spécialiste pour les élèves ayant une perte auditive - District scolaire francophone Sud);
- Yvette Mallet (École Dr-Marguerite-Michaud, Bouctouche - District scolaire francophone Sud);
- Michel Morin (Carrefour de la Jeunesse, Edmundston - District scolaire francophone Nord-Ouest);
- Nadine Ross (École Apollo XI, Campbellton - District scolaire francophone Nord-Est); et
- Micheline Savoie (École René-Chouinard, Lagacéville - District scolaire francophone Nord-Est).
« Cette soirée nous permet de témoigner publiquement le respect et l'admiration que nous avons tous pour ces enseignants qui se démarquent auprès de leurs pairs et qui continuent à faire de nos écoles un milieu d'apprentissage positif, inclusif et stimulant, où chaque élève est en mesure d'y acquérir une solide identité culturelle et linguistique tout en développant son plein potentiel », a déclaré la ministre de l'Éducation et du Développement de la petite enfance, Marie-Claude Blais. « Les lauréats font la fierté de notre système d'éducation puisqu'ils incitent leurs élèves à se surpasser, à gagner confiance en eux et ainsi acquérir les connaissances et les compétences nécessaires à leur réussite scolaire. »
La ministre Blais a reconnu l'importance des efforts quotidiens de tous les membres du personnel scolaire et des partenaires en éducation.
« Pour garder notre système éducatif solide et innovant, il est essentiel que nous prenions le temps requis pour valoriser les enseignants qui contribuent à son excellence, a dit Mme Blais. En plus de favoriser l'apprentissage des élèves, les lauréats du prix d'excellence ont su éveiller chez leurs pairs le goût d'innover et de contribuer au dynamisme et à l'avancement du système éducatif francophone du Nouveau-Brunswick. »
« Mesdames Suzanne Doucet et Yvette Mallet sont des modèles pour notre système d’éducation et nous nous comptons chanceux de pouvoir compter sur leur dévouement et leur passion au District scolaire francophone Sud. » a indiqué le président du Conseil d’éducation, Monsieur Gilles Bourque.
Depuis 1992, le Prix d'excellence dans l'enseignement a été décerné à 157 enseignantes et enseignants qui se sont distingués par leur créativité, leur dynamisme et leur engagement.
> Notes d'information sur les lauréates 2012-2013 du District scolaire francophone Sud
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Madame Suzanne P. Doucet (enseignante spécialiste pour les élèves ayant une perte auditive – District scolaire francophone Sud)
Mme Doucet a une rigueur et une passion à la tâche qui sont peu communes, et ce, même après 30 ans d'engagement auprès des élèves francophones ayant une surdité. Elle est très engagée auprès des enseignants novices et débutants dans ce domaine. Mme Doucet élabore des modules de formation en ligne offerts aux enseignants du service aux élèves ayant une perte auditive. Elle est également chargée de cours à l'Université de Moncton dans le domaine de la surdité, et elle est coauteure de différents projets de recherche sur le plan de l'approche auditive verbale. Mme Doucet a obtenu le titre prestigieux de thérapeute auditive verbale en 2000, ce qui faisait d'elle une des premières enseignantes francophones au niveau mondial à obtenir ce titre.

Madame Yvette Mallet (École Dr-Marguerite-Michaud, Bouctouche – District scolaire francophone Sud)
Depuis son arrivée à l'École Dr-Marguerite-Michaud, Mme Mallet a toujours cherché à rendre l'apprentissage plus intéressant et plus facile afin que ses élèves atteignent leur plein potentiel. Elle a mis sur pied un programme d'aide aux enfants à risque de décrochage et un programme de tutorat afin de donner aux élèves le goût d'apprendre et de les préparer le mieux possible pour leur entrée à l'école secondaire. Mme Mallet a travaillé fort afin d'obtenir des ressources additionnelles pour les enfants en besoin de l'école, et elle a maximisé toutes les ressources disponibles afin que le plus d'élèves possible y aient accès. Elle a également participé à l'événement Héros de cœur 2012, qui l'a amenée à pédaler un peu partout dans la province.
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Source :
Heidi Cyr, Ministère de l'Éducation et du Développement de la petite enfance
Contact média au DSF-S:
Steve Lapierre
506 856-3183
steve.lapierre@gnb.ca
Moncton, le 12 novembre 2013 - L'ouverture officielle de la nouvelle école primaire Sainte-Bernadette a eu lieu, aujourd'hui, à Moncton.
« Cette nouvelle école reconstruite selon les besoins du XXIe siècle est un milieu moderne, sain et sécuritaire pour les élèves et le personnel qui permettra à chaque enfant de continuer à apprendre et à s'épanouir pleinement », a affirmé la ministre de l'Éducation et du Développement de la petite enfance, Marie-Claude Blais.