Dieppe, le 18 février 2019 – Le District scolaire francophone Sud (DSFS) compte plusieurs élèves athlètes qui prennent part aux Jeux du Canada qui se déroulent à Red Deer en Alberta, du 15 février au 3 mars 2019. « Au DSFS, nous sommes très fiers de nos athlètes qui sont pour nous déjà vainqueurs. Ils ont fait preuve de discipline et de persévérance pour accéder à ce niveau de compétition. Ils ont donc déjà mérité notre reconnaissance, souligne madame Monique Boudreau, directrice générale du DSFS. Je leur souhaite de vivre une belle expérience dans l’esprit des valeurs des Jeux du Canada, qui rejoignent en plusieurs points celles de notre district, qu’il s’agisse de collaboration, d’innovation, d’inclusion ou de détermination, par exemple. » Les Jeux du Canada sont présentés en alternance l’hiver et l’été tous les deux ans. Ils constituent la plus grande manifestation multisport au pays, avec 19 disciplines sportives, plus de 150 épreuves et plus de 3600 athlètes, entraîneurs et gérants. La délégation du Nouveau-Brunswick est composée de 200 athlètes, de 65 entraîneurs, gérants et techniciens ainsi que de 20 membres du personnel de mission. Parmi les sports à l’horaire des compétitions pour le Nouveau-Brunswick, il y a le ski alpin, le ski para-alpin, la gymnastique artistique, le tir à l’arc, le badminton, le biathlon, la boxe, le ski de fond, le ski paranordique, le curling, le patinage artistique, le hockey, le judo, la ringuette, le patinage de vitesse, le squash, le trampoline et le basketball en fauteuil roulant.

Légende La photo nous fait voir l’ensemble de la délégation du Nouveau-Brunswick qui prend part aux Jeux du Canada 2019. - 30 -

Source : Ghislaine Arsenault Directrice des relations stratégiques District scolaire francophone Sud ghislaine.arsenault@nbed.nb.ca 506 856-3183

Dieppe, le 14 février 2019 - Voici quelques faits saillants de la réunion du Conseil d’éducation (CED) du District scolaire francophone Sud (DSFS) tenue à l’école Louis-J.-Robichaud de Shediac, le 12 février 2019. Petite enfance La directrice régionale des services à la petite enfance, madame Charline Morrison, a indiqué que le processus de désignation des centres de petite enfance se poursuit. Il y a maintenant 75 garderies désignées sur 125 garderies admissibles. Elle a aussi rappelé la tenue à Dieppe, le 23 février prochain, du Forum de perfectionnement professionnel visant les éducatrices qui travaillent avec les enfants âgés de 0-5 ans, un événement auquel 175 éducatrices sont attendues. De plus, du 15 au 17 mars 2019, le Forum de perfectionnement professionnel rassemblera à Moncton 200 éducatrices qui travaillent avec les enfants de 0-5 ans et les enfants de 5-12 ans. Panification des installations scolaires Le comité s’est réuni en janvier.  Il a révisé les travaux en immobilisation qui seront effectués à l’été 2019. Les travaux de construction de l’école Arc en ciel d’Oromocto avancent bien.  L’ouverture de cette école est prévue en janvier 2020. Pour ce qui est de la nouvelle école de Moncton, un comité pour les devis pédagogiques a été créé et s’est déjà réuni pour entreprendre la planification des espaces. La prochaine rencontre aura lieu le 22 février 2019. En ce qui a trait au projet de modernisation mi-vie à l’école Louis-J.-Robichaud, une nouvelle demande devra être déposée pour mener ce projet à terme dans le cadre du prochain budget du gouvernement du Nouveau-Brunswick. Célébration 2019 Le Conseil d’éducation a également convenu que l’école Carrefour Beausoleil, de Miramichi, sera l’hôte de la Célébration 2019 le mardi 4 juin. Un budget supplémentaire sera accordé à l’événement cette année afin d’absorber les coûts de déplacement et de suppléance et de faciliter la participation de toutes les communautés d’écoles.  Par ailleurs, une invitation a été lancée aux écoles secondaires pour la production de l’œuvre qui sera remise aux récipiendaires des prix de reconnaissance. Le concours est ouvert jusqu’au 1^er mars 2019. Immigration Le Conseil a mandaté la firme Diversis inc. de lui présenter une offre de service dans le but de réaliser une étude visant à identifier les facteurs de recrutement et de rétention scolaire des élèves immigrants dans les écoles de notre district et d’élaborer une stratégie de recrutement et de positionnement du DSFS dans l’écosystème de l’immigration. Le DSFS accueille de plus en plus de nouvelles familles dans ses écoles. En raison de sa situation géographique englobant les trois grands centres urbains de la province, ses écoles accueillent et intègrent de plus en plus d’élèves et de familles issus de l’immigration. En plus de contribuer à l’ouverture sur le monde, l’immigration représente un fort potentiel de recrutement d’élèves. Prochaine réunion La prochaine réunion ordinaire du Conseil d’éducation aura lieu le mercredi 13 mars 2019 au local 1321 de l’école Louis-J.-Robichaud à Shediac.

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Source : Ghislaine Arsenault Directrice des relations stratégiques District scolaire francophone Sud Ghislaine.arsenault@gnb.ca 506 856-3183

Dieppe, le 12 février 2019 - Animateur en saine alimentation au sein d’Apprenti en action – Labo éducatif en alimentation Inc. au District scolaire francophone Sud, le chef Gene Cormier participera le 26 février prochain au Bocuse d’Or Canada, à Toronto. Cette compétition nationale regroupera quatre chefs cuisiniers. Il est le seul candidat représentant les provinces de l’Atlantique à ce concours. « Ça fait depuis 1987 que le Canada envoie à chaque deux ans un chef canadien, puis c’est la première fois dans les trente ans qu’il y a un candidat de l’Atlantique. Dans ma tête, j’ai déjà gagné. C’est vraiment quelque chose de super! J’étais vraiment ému », mentionne le chef cuisinier originaire de Dieppe. Le gagnant de cette épreuve culinaire participera à la grande finale du Bocuse d’Or en 2021, à Lyon en France, à titre de représentant du Canada. Gene Cormier n’a pas toujours souhaité devenir chef. Diplômé de l’école Mathieu-Martin de Dieppe, il entreprend des études postsecondaires à l’Université de Moncton au programme d’histoire. Il réalise, après quelques semestres, que ce n’est pas pour lui. Il décide donc de suivre son ami et s’inscrit à des cours culinaires. Une décision qui laissa ses parents sans mot. « Je ne cuisinais pas vraiment à la maison, donc ils avaient un petit peu peur », dit-il en riant. Un retour au bercail Sa passion pour la gastronomie le conduit à pratiquer ce métier aux quatre coins du monde, en passant notamment par Miami, New York et Shanghai. Après avoir vécu les quatre dernières années au Qatar, il revient en Acadie en avril dernier avec sa petite famille.  « J’ai grandi ici […] l’Acadie, c’est chez nous. […] Je voulais revenir, parce que notre petit garçon à l’âge d’aller à l’école. On voulait s’assurer qu’il fasse le cheminement scolaire en français », témoigne-t-il. De chef cuisiner à enseignant culinaire Depuis cet automne, il est animateur au sein d’Apprenti en action – Labo éducatif en alimentation inc., un organisme à but non-lucratif qui a pour mission d’encourager la saine alimentation auprès des élèves du DSFS tout en développant leurs compétences culinaires. « J’ai tombé sur Apprenti en action par hasard […] J’avais vu l’annonce qui parlait d’un animateur pour donner des cours culinaires pour les jeunes, et je trouvais ça intéressant […] avec les jeunes c’est vraiment facile de capter leur attention parce qu’ils sont déjà intéressés », explique Gene Cormier. Que ce soit d’ouvrir son propre restaurant dans la région de Moncton ou bien de gagner la compétition du Bocuse d’Or, Gene Cormier sait mettre la main à la pâte pour sa communauté!

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Source : Marie-Michèle Vienneau Agente de recrutement et de communication District scolaire francophone Sud marie-michele.vienneau@nbed.nb.ca

Quispamsis, le 12 février 2019 - L’environnement est au cœur de la mission éducative de l’École des Pionniers de Quispamsis. Les élèves, préoccupés notamment par les changements climatiques et inspirés par la jeune militante suédoise Greta Thunberg, ont décidé de prendre les choses en main et de demander au Conseil municipal de Quispamsis le 5 février dernier de déclarer un état d’urgence climatique, afin de mettre en œuvre des lois plus écologiques dans la municipalité qui, on le rappelle, a été durement touchée lors des inondations du printemps 2018 et par le verglas en 2013 et 2018. Cinq élèves ont remis une pétition de 400 noms au maire Gary Clark et à ses conseillers au nom de tous les élèves de l’école des Pionniers. Diego Arseneault, Isabel Cormier, Leah Doucet, Chloé Ryder et Jacob Somers, tous des élèves de 5^e année, ont fait une solide présentation de 10 minutes au Conseil municipal, afin de demander l’adoption de la Déclaration d’urgence climatique (DUC), comme l’ont fait avant eux des villes en Europe et aux États-Unis, 250 villes et municipalités québécoises, dont Québec et Montréal, de même que Vancouver et Halifax tout récemment. « Les mots sont difficiles à trouver pour exprimer à quel point je suis fière de nos élèves! Le développement des compétences c’est ça! C’est se tenir debout pour ce qui te tient à cœur et suivre ton désir de vouloir faire une différence! », explique Mme Anik Duplessis, directrice de l’école des Pionniers. Rappelons que la DUC, similaire à une déclaration d’état d’urgence en cas de désastre naturel (tremblements de terre, inondations, etc.), permet à un gouvernement municipal, provincial ou national de débloquer des fonds et d’instaurer des lois spéciales. Dans le cas qui nous concerne, les élèves demandaient l’abolition des sacs de plastique à usage unique dans la municipalité. Le maire et ses conseillers, bien qu’ils n’aient pas adopté la DUC, ont reconnu son existence et ont proposé aux élèves de rencontrer son comité de Gestion des changements climatiques, afin de lui présenter sa demande et qui sait, peut-être le convaincre d’implanter de nouvelles mesures? À suivre! Légende : de gauche à droite, Leah Doucet ; Jacob Somers ; Chloé Ryder ; Isabel Cormier ; Diego Arseneault et Gary Clark, maire de Quispamsis.

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Source : Eric Kennedy Agent de développement communautaire Centre scolaire Samuel-de-Champlain District scolaire francophone Sud eric.kennedy@nbed.nb.ca

Dieppe, le 12 février 2019 - Le projet Harmonie pour tous (HPT) du Centre des arts et de la culture de Dieppe (CACD) a permis à six ensembles musicaux (Volet ensemble) composés d’élèves de la 7^ième à la 12^ième année et des jeunes auteurs compositeurs-interprètes de la 4^ième à la 8^ième année (Volet auteur-compositeur-interprète) des écoles du District scolaire francophone Sud de baigner dans la composition et le domaine des arrangements musicaux en 2018-2019. Le spectacle Harmonie pour tous présenté à 15 h et à 18 h à l’école Mathieu-Martin de Dieppe, le dimanche 17 février. Il est l’aboutissement des deux volets du projet. Quelques 300 jeunes de la région se produiront sur scène. Au mois de novembre 2018, Sébastien Michaud (Les Païens) a partagé les rouages de son métier d’arrangeur avec l’harmonie de l’école Mathieu-Martin, celle de l’école Le Sommet et celle de l’école Le Mascaret. Chacun a choisi une pièce acadienne contemporaine afin que M. Michaud en crée les arrangements et partitions. François Émond (Ode à l’Acadie) en a fait de même avec l’harmonie de l’école L’Odyssée (Moncton), celle de l’école Champlain (Moncton) et celle de l’école Antonine Maillet (Dieppe), qui elle, a été créée pour le projet. Chaque ensemble a appris les pièces arrangées afin de les présenter au public. L’école Champlain présentera la pièce qu’elle a choisi lors de son spectacle scolaire du printemps, alors que les autres ensembles la présenteront lors du spectacle du 17 février. « Le projet Harmonie pour tous se veut la suite logique du projet Chante ton Centre, conduit par le CACD l’an dernier dans le cadre de son programme d’accès aux arts L’Art pour tous…Tous pour l’Art. Cette année, nous avons choisi d’explorer la composition et les arrangements musicaux avec les jeunes, alors que l’année dernière nous abordions les paroles et le chant chorale. Les deux projets imbibent les participants de chanson francophone et acadienne et le tout met en lumière un travail trop souvent laissé dans l’ombre », a déclaré le directeur général du CACD, Luc Gaudet. Au Volet auteur-compositeur-interprète d’HPT, les écoles francophones de Dieppe et Memramcook ont été invitées à nominer un ou une élève de la 4^ième à la 8^ième année afin qu’il ou elle reçoive du mentorat avec la musicienne Christine Melanson ou avec la musicienne et enseignante Christine Gollan. Les jeunes retenus sont : Nicola LeBlanc (7^ième année) de l’école Antonine Maillet à Dieppe, Isabelle Jones (6^ième année) de l’école Abbey-Landry à Memramcook, Amélie Marcotte (5^ième année) de l’école Sainte-Thérèse à Dieppe et Élie Caissie (4^ième année) de l’école Anna-Malenfant. Ce projet a été financé par le Groupe d’action-collaboration sur l’éducation en français et le CACD en partenariat avec la Ville de Dieppe et le District scolaire francophone Sud. Les billets sont en vente au public dès le mardi 12 février au coût de 5 $ pour les étudiants et enfants et 8 $ pour les autres (admission générale). Pour plus d’information, rendez-vous sur le site www.centredesartsdieppe.ca ou composez le 506-854-ARTS (2787). L'Harmonie de l'école Antonine Maillet, dirigée par Joanne-Lise Leblanc-Belliveau, a été créée pour le projet en joignant 2 classes de 7e année. Dans la photo, vous les voyez avec l'arrangeur François Émond qui a créé des arrangements musicaux d'une chanson acadienne choisie par les élèves!  

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Pour les questions ou les demandes d’entrevues : Emmanuelle Chapados 506.854.2787 developpement@centredesartsdieppe.ca