Dieppe, le 12 mai 2014 – Plus de 75 personnes intéressées par la question de l’enseignement du français dans les écoles du sud-est se sont rencontrées pour discuter, samedi, à l’école Le Sommet de Moncton. Parmi elles se trouvaient des parents, des membres de la communauté, des intervenants du District scolaire francophone Sud, du Ministère de l’Éducation et du Développement de la petite enfance, du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick et de l’Université de Moncton.

Ce sont les débats qui ont eu lieu sur la qualité du français parlé et écrit des jeunes au cours des dernières années qui ont menés à l’organisation de cette journée de réflexion.

L’objectif était de susciter une réflexion collective sur la situation, d’examiner les réussites et les défis liés à l’enseignement du français et de discuter de perspectives d’avenir. La rencontre avait pour deuxième objectif de  sensibiliser la population francophone aux défis et aux enjeux liés à l’acquisition du français de la petite enfance jusqu’aux études postsecondaires.

L’événement était organisé conjointement par le District scolaire francophone Sud et le Centre de recherche en linguistique appliquée de l’Université de Moncton. Madame Monique Boudreau, directrice générale du DSF-S, est satisfaite de cette première rencontre : « La variété d’intervenantes et d’intervenants présents a permis des discussions riches qui serviront certainement de base à une profonde introspection que nous devrons faire sur la question linguistique au sud-est du Nouveau-Brunswick. », a-t-elle indiqué. « Nous avons démontré qu’il est possible voire essentiel de réunir à la fois l’école, les parents et la communauté autour d’une même table pour trouver des moyens de relever le défi des capacités linguistiques de nos jeunes; un défi qui appartient à toutes et à tous. », a-t-elle ajouté.

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Source et renseignements :
Steve Lapierre
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