Dans la nouvelle structure, des pédagogues expérimentés forment une équipe de services intégrés qui peut offrir de l’appui aux enseignants et aux élèves en salle de classe dans la livraison de services différentiés, notamment en francisation. « Nous croyons que c’est dans un environnement francophone structuré comme la salle de classe et grâce aux interactions avec leurs pairs que les élèves ayant besoin d’être francisés réussiront à parfaire leur apprentissage de la langue. », d’indiquer la directrice générale du district scolaire, Madame Monique Boudreau. Quant à la perte des six monitrices et moniteurs de langue qui travaillaient dans les écoles du District scolaire francophone Sud, le district rappelle que la francisation des jeunes est un défi collectif qui n’est pas seulement la responsabilité d’une personne au sein de l’école et que les moniteurs de langues offraient des services d’appui et n’étaient pas du tout responsables du dossier de la francisation dans son intégralité. L’ensemble du personnel enseignant du DSF-S est formé pour différentier ses interventions afin de répondre aux besoins de chaque élève et adapter son enseignement en conséquence. Enfin, il est essentiel de rappeler que les parents ont aussi un rôle crucial à jouer dans la construction identitaire de leurs enfants notamment en les exposant à la langue française dès la petite enfance et en valorisant cette langue auprès d’eux. Le dossier de la francisation est primordial pour le District scolaire francophone Sud, qui s’engage à continuer d’offrir les services nécessaires qui permettront aux élèves de réussir. -30- Source : Steve Lapierre, coordonnateur des relations stratégiques506 856-3183 | steve.lapierre@gnb.ca